Il n'y a pas que le sport et les belles randos en Nouvelle Zélande. Je décide donc de m'intéresser à son histoire et plus particulièrement à la période moyenâgeuse. Je pars donc découvrir Castle Hill (la colline au château) afin de découvrir quel Seigneur a bâtit cette forteresse dans le but de repousser quelques hordes barbares.
Mes compagnons de voyages me laissent donc à Castle Hill avec de grands sourires. "Oui Oui Pierrot va faire tes recherches archéologiques. Mais prends tes chaussons d'escalade on ne sait jamais." Je ne comprends pas... j'ai la fâcheuse impression que ces fripons me cachent quelque chose...
C'est avec effroi que je m'aperçois en arrivant sur le site, et alors que mes collègues sont déjà loin, qu'il n'y a jamais eu de château à Castle Hill. Un groupe de Néo Zélandais qui se promènent avec un matelas sur le dos m'explique que c'est la ressemblance avec un château en ruine qui a donné le nom de Castle Hill à ce site. Les Néo Zélandais sont tellements jaloux de nos châteaux même ceux qui sont en ruine, qu'ils s'en inventent pour faire venir des touristes. Mais le pire dans tout ça c'est que ça marche.
En revanche les autochtones fraîchement rencontrés me vantent les qualités "blocistiques" de ce lieux allant même jusqu'à le comparer à Fontainebleau. "Sacrebleu", comme diraient mes nouveaux amis qui me proposent de les accompagner, moi qui voulais accroître mes connaissances historiques, me voilà obligé de faire de l'escalade. Tant pis je m'exécute je ne vais pas vexer l'autochtone c'est impoli.
Je tâte donc ce beau calcaire gris et développe quelques échantillons de mon "large panel technique". J'en profite pour connaître la traduction de ces mouvements:
Crochet talon se dit heel hook
Lolotte se dit drop knee
Une parrade se dit a top
et mon préféré coincement de genou se dit knee bard
On ne m'a pas menti, les blocs sont très jolis et nombreux, de plus le site est magnifique. La ressemblance avec une forteresse déchue est frappante par endroit. Je passe donc une belle journée et je fais une nouvelle fois l'expérience de l'hospitalité kiwi.
Pierre
Mes compagnons de voyages me laissent donc à Castle Hill avec de grands sourires. "Oui Oui Pierrot va faire tes recherches archéologiques. Mais prends tes chaussons d'escalade on ne sait jamais." Je ne comprends pas... j'ai la fâcheuse impression que ces fripons me cachent quelque chose...
C'est avec effroi que je m'aperçois en arrivant sur le site, et alors que mes collègues sont déjà loin, qu'il n'y a jamais eu de château à Castle Hill. Un groupe de Néo Zélandais qui se promènent avec un matelas sur le dos m'explique que c'est la ressemblance avec un château en ruine qui a donné le nom de Castle Hill à ce site. Les Néo Zélandais sont tellements jaloux de nos châteaux même ceux qui sont en ruine, qu'ils s'en inventent pour faire venir des touristes. Mais le pire dans tout ça c'est que ça marche.
En revanche les autochtones fraîchement rencontrés me vantent les qualités "blocistiques" de ce lieux allant même jusqu'à le comparer à Fontainebleau. "Sacrebleu", comme diraient mes nouveaux amis qui me proposent de les accompagner, moi qui voulais accroître mes connaissances historiques, me voilà obligé de faire de l'escalade. Tant pis je m'exécute je ne vais pas vexer l'autochtone c'est impoli.
Je tâte donc ce beau calcaire gris et développe quelques échantillons de mon "large panel technique". J'en profite pour connaître la traduction de ces mouvements:
Crochet talon se dit heel hook
Lolotte se dit drop knee
Une parrade se dit a top
et mon préféré coincement de genou se dit knee bard
On ne m'a pas menti, les blocs sont très jolis et nombreux, de plus le site est magnifique. La ressemblance avec une forteresse déchue est frappante par endroit. Je passe donc une belle journée et je fais une nouvelle fois l'expérience de l'hospitalité kiwi.
Pierre
J'ai maladroitement égaré la charte éthique que vous avez signée, sur laquelle vous vous engagez à ne pas déformer la vérité.
RépondreSupprimerPourriez-vous me la renvoyer, s'il vous plait ?
Merci d'avance
Olivier