vendredi 24 décembre 2010

Zam zam

Le symbole du Laos




Allez. Allez. Voilà ce que zam zam signifie. Durant le trek, la fin des pauses ou le début de la journée sonnait au son du zam zam.

Zam zam. C’est parti. Bye bye Népal. Ciao Panta. Au revoir Katmandou. Nous quittons le Népal. Nous laissons les paysages, les sommets, les rivières et accessoirement nos bâtons de marche. Zam Zam.

Nous partons pour le Laos. Comme il n’y a pas de direct nous voilà contraint de faire Katmandou – New Dehli, puis New Delhi – Bangkok et finalement Bangkok – Vientiane. 24h de transport ou d’attente dans un no man’s land international. Nous vivons à l’heure des plateaux repas dont le créneau horaire est +1 par rapport au décollage ou – 2 par rapport à l’atterrissage. En tout cas ce créneau horaire n’a rien à voir avec Greenwich. On apprécie d’être surclassé en business sur le premier vol. Le tour du monde en business, c’est pas la classe ça. Nous arrivions à Vientiane par un petit 30°C très sympa. Nous allons ranger la polaire… 
Pierre comprend pas pourquoi seul mon sac est arrivé à destination. Perso, je ne cherche pas à comprendre. Quelque fois il faut accepter. 
Nous changeons des euros en monnaie locale, ce qui a pour effet de nous faire rentrer dans le classement des millionnaires laotiens (10 000 kip = 1 euro).

Tout est calme à Vientiane. Pas de hordes de taxi pour vous ligoter à l’arrière de leur Tuk Tuk avant de demander une rançon. La circulation est fluide. Les gens pas stressés. Nous sommes même obligés de réveiller certains Tuk Tuk qui se la coulent douce. Les bords du Mékong sont agréables. La rupture est totale avec le Népal : le rythme, la température et bien sûr les paysages.

Après 2 jours de visite à Vientiane, nous filons vers Vang Vieng dans le nord du pays. 

Martin

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire